transmission du Vendredi 9 avril 2010 à 20:22

Rouge, rouge, rouge, rouge...

La corrélation entre les maths et l'espoir.

Me voilà embrigadé presque de force (et fortement de gré, au fond) dans un machiavélique complot organisé par Ingrid. Ingrid, ou rouge, Docteur Jeu Quille ou encore Miss Torraïde. Et dans cette liste non exhaustive de pseudonymes, nul n'est son réel nom. Alors que certaines personnes se rencontrent dans un café, dans un avion ou dans un coin de rue, on s'est rencontrés autour d'un cône. De signalisation. Elle ne l'aimait pas spécialement, je le trouvais pas trop mal et puis elle m'a ouvert les yeux. C'est parti de là.

On sèche les larmes et les mouchoirs maintenant, c'est pas que je n'aime pas les trémolos mais j'ai un thème à aborder. Et sans bateau pirate, mesdames et messieurs.

Les maths et l'espoir.

C'est un peu comme un pléonasme, mais à l'envers. Deux choses qui n'ont mais alors absolument rien à voir l'une avec l'autre. Me voilà donc coincé puisqu'il faut associer ces deux idées. Pourquoi, mais pourquoi a-t-il fallu que je donne un thème si farfelu à Ingrid hier ? Et si, il y a un lien, là. (J'en ai même fait un lien hypertexte, hourra)

Les mathématiques.

Je n'aime pas. Les fonctions affines, l'arithmétique, les intégrales ou la géométrie. Tout ça, ça me botte moyen. Et dans la vie de tous les jours, c'est pas franchement utile. Exemple:

Je me retrouve dans mon jardin, dont j'ai décidé de calculer la surface. Pourquoi ? Mais pour savoir combien de mètres je parcours en passant la tondeuse pardi. Elle fait 45 centimètres de large, et a un angle de rotation maximum de 62 degrés. J'ai 3 arbre d'une circonférence moyenne de 36,1 centimètres dont je fais le tour en spirale selon le principe de Fermat. Jusque là, bien qu'un peu sans fondement, tout se tient.
Compliquons les choses: Une soucoupe volante arrive au dessus de ma tête. La probabilité que ce soit possible étant proche de zéro (exactement de 0,587-14 après rapide calcul), je me complait dans l'évidence de l'hallucination. C'est sans compter sur la réalité de la chose, et me retrouve rapidement sanglé sur une table d'opération alien. (Dis, Scully, les aliens reviennent souvent dans nos histoires, non ?) En voyant un passer toutes les deux minutes trente, se pencher au dessus de moi pendant quatre secondes, noter quelque chose dans ce que j'estime être un carnet extra-terrestre pendant six secondes et quitter la pièce au bout d'un total de quinze secondes, j'arrive à échafauder un plan de secours. À la Mc Gyver. Je me retrouve devant une porte à code dont je calcule très rapidement la solution. La porte s'ouvre, je m'enfuis victorieux. Et me retrouve dans l'espace, au final, sans air.

Ben ouais, j'avais pas prévu, j'suis pas physicien, moi.

Et puisqu'il faut lier l'espoir à tout ça, sachez que j'espère vraiment que ça n'arrive à personne ce genre d'histoire. Surtout la partie tondeuse. (L'espace, c'est coooool).

Ingrid, ma chère Ingrid. Tu transparait par endroit dans ton précédent article. Ne t'inquiète pas, je te secouerai. Et tiens, si tu me parlais des secrets inavoués des cucurbitacées ?
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